COMÉDIE DRAMATIQUE SUR UNE EXPÉRIENCE VÉCUE
Le premier long métrage réalisé par Agnès de Sacy https://fr.wikipedia.org/wiki/Agnès_de_Sacy, qui a été scénariste de nombreux court-métrages, est « La fille d’un grand amour ». https://fr.wikipedia.org/wiki/Agnès_de_Sacy . Une comédie dramatique sur une expérience vécue.
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Agnès de Sacy
Cette coproduction entre la France (89,95%) et la Belgique (10,05%) a un budget prévisionnel de 4,3 millions €, soit 80% du budget moyen des films français de fiction sortis en 2024 https://siritz.com/financine/les-barometres-2024-des-films-de-fiction/.Pour la préparation, 30 jours de tournage, dont 2 en Espagne, ainsi que la post-production, la rémunération de la réalisatrice est de 80 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est deux tiers de la rémunération moyenne des réalisateurs en 2024. Elle a écrit le scénario avec Michel Spinosa et Gilles Taurand pour 92 000 €, soit 10% de moins que le budget médian des scénarios. Les rôles principaux ont reçu 320 000 €, soit 40% de plus que leur rémunération médiane.
Le producteur délégué est Pan Cinéma (Philippe Godeau). France 2 cinéma est coproducteur. Le film a reçu le soutien de la région Occitanie. Canal+, Ciné+ et France 2 cinéma l’ont préacheté. Pan Cinéma a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo et vod et autre pour le mandat de distribution à l’étranger.
A noter que le producteur délégué est celui de « Un p’tit truc en plus » , réalisé par Artus, qui a atteint 11 millions d’entrées https://siritz.com/editorial/le-ptit-truc-en-plus-du-cinema/. Il a également produit « Largo Winch, Le prix de l’argent », réalisé par Olivier -Depasset, dont le budget prévisionnel était 16,3 millions € et qui a rassemblé 404 000 spectateurs. https://fr.wikipedia.org/wiki/Largo_Winch_:_Le_Prix_de_l%27argent
*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.