Archive d’étiquettes pour : Wild Bunch

Le deuxième film réalisé par Jean-Bernard Marlin https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Bernard_Marlin, « Salem »,  est une tragédie entre un musulman et une gitane.https://fr.wikipedia.org/wiki/Salem_(film,_2023)

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Jean-Bernard Marlin

Son budget prévisionnel est de 8 millions €, soit 50% de plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/ Pour la préparation, 63 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 150 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Soit 15% de plus que la rémunération moyenne des réalisateurs l’année dernière. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/ Il a écrit le scénario pour 151 000 € ce qui correspond aux trois quarts du budget moyen des scénarios. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/Les rôles principaux ont reçu 82 000 €, soit leur rémunération médiane.   https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Les producteurs sont Unité (Bruno Nahon, Caroline Nataf et Thomas Morvan), & Vatos Lacos (Romain Daubeach, Marine Bergère et Jean-Bernard Merlin) en coproduction avec France 2 cinéma.Le film a bénéficié de 550 000 € d’avance sur recettes et aussi de l’aide à la Création Visuelle et sonore du CNC ainsi que de son Fonds images de la diversité.  La Région Sud lui a apporté son soutien. France 2 et Netflix l’ont préacheté. Ad Vitam a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo, vod et svod et Wild bunch pour le mandat de vente internationale.

Le premier film réalisé par Jean-Bernard Marlin était « Shéhérazade », sorti le 5 septembre 2018. Son budget prévisionnel était de 2,1 millions €. Pour la préparation, 42  jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 60 000 €, dont 15 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 45 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario avec Catherine Paillé pour 54 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 34 000 €.

Le producteur était Geko Films. Arte était coproducteur. Le film avait reçu du CNC 430 000 € d’avance sur recettes et le soutien aux Images de la diversité. La Fondation Gan et la région Paca lui avaient apporté leur soutien. Deux soficas y avaient investi. Canal+ et Arte l’avaient préacheté. Ad Vitam avait donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle et video. Le film avait rassemblé 156 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « LA GUERRE DES LULUS »

C’est le 6ème film de ce réalisateur ui est aussi scénariste. https://fr.wikipedia.org/wiki/Yann_Samuell

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il s’agit d’une coproduction entre la France (82%)  et le Luxembourg (18%)  pour un budget prévisionnel de 7,9 millions €.

Pour la préparation, le tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 130 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est à peu près la rémunération moyenne des réalisateurs de films français de fiction en 2022. https://siritz.com/financine/barometre-des-realisateurs-de-fiction-en-2022/

C’est l’adaptation de la série de bandes dessinées de Régis Hautière et Hardoc dont les droits ont été acquis 82 500 €. Yann Samuell a écrit le scénario et a reçu 100 000 € d’à valoir. Le budget du scénario est donc légèrement supérieur au budget moyen des films français de fiction sortis en 2022. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-scenarios-en-2022/

Les producteurs délégués français sont Superprod et Wild Bunch. 2 soficas et des investisseurs privés y ont investi. Pictanovo (Hauts-de-France) lui a  apporté une aide remboursable. Canal+ et OCS l’ont préacheté.

Wild Bunch et Elle Driver  ont donné un minimum garanti pour tous les mandats France et monde.

Le coproducteur luxembourgeois est Bidibul qui a bénéficié du soutien du Film Fund Luxembourg.

Le précédent film de Yann Samuell était « Le Fantôme de Canterville », sorti en salle le 6 avril 2016. C’était une coproduction entre la France (65%) et la Belgique (35%) pour un budget prévisionnel 12,4 millions €.

Pour la préparation, 45 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 144 000 €, dont 45 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et        99 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario avec Yves Marmion et ils s’étaient partagés 130 000 €.

Le producteur était Les Films du 24, dirigé par Yves Marmion et filiale d’UGC. France 2 était coproducteur et deux soficas y avaient investi. L’avaient préacheté.

UGC avait tous les mandats de distribution sans minimum garanti. Le film avait rassemblé 355 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.