Archive d’étiquettes pour : Wild Bunch

Pour « Niki », https://fr.wikipedia.org/wiki/Niki_(film) , son premier film en tant que réalisatrice la comédienne Celine Salette https://fr.wikipedia.org/wiki/Céline_Sallette offre une biographie de l’artiste Niki de Saint Phale, une artiste total dans un univers hostile.Le dernier film de Celine Salette en tant que comédienne était « Les algues vertes », réalisé par Pierre Jolivet et sorti l’année dernière. https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Algues_vertes

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Celine Salette

Son budget prévisionnel est de 3,7 millions €, ce qui est le budget médian des films français sortis depuis le début de l’année.  https://siritz.com/financine/baisse-generale-du-niveau-des-scenarios/ Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 80 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, ce qui est 90% de la rémunération médiane des réalisateurs https://siritz.com/financine/tendance-a-la-baisse-de-la-remuneration-des-realisateurs/ Elle a écrit le scénario avec Samuel Doux pour 100 000 €, soit 25% de plus que le budget médian des scénarios. Les rôles principaux ont reçu 148 000 €, soit 85% de plus que la rémunération médiane des rôles principaux  https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Les producteurs délégués sont Wild Bunch (Vincent Grimond) et Cinéfrance Studio (Julien Deris et David Gauquié).  Troisfoistroisneuf et France 2 cinéma sont coproducteurs. Les région Ile de France et Paca ont apporté leur soutien. 6 soficas non garanties (Cinexe 5, Entourage Sofica 2, Cinecap 7, Cofinova 20 et Indefilms 12) y ont investi. Canal+, Ciné + et France 2 l’ont préacheté. Wild Bunch a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution France hors tv et Pulsar content un minimum garanti pour tous les mandats de distribution internationale.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.

Le second long métrage de Morgan Simon https://fr.wikipedia.org/wiki/Morgan_Simon, « Une vie rêvée » https://fr.wikipedia.org/wiki/Une_vie_rêvée_(film,_2024), brosse le portrait d’une femme fantasque, dépressive, endettée et sans emploi, sauvée par une rencontre. Elle est interprétée par Bruni Tedeschi.

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Morgan Simon

Son budget prévisionnel est de 2,3 millions €, soit deux tiers du budget médiant des films français sortis cette année. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/ Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 48 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. La rémunération du réalisateur Morgan Simon est donc également les deux tiers de la rémunération médiane des réalisateurs  cette année. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/ C’est lui qui a écrit le scénario pour 62 500 €, soit, de nouveau, deux tiers du budget des scénarios des films de cette année. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/. Les rôles principaux ont reçu 130 000 € ce qui correspond à 60% de leur rémunération moyenne. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Les producteurs délégués sont  Trois Briguands Production (Favonnet, Léa Mysius et Paul Guilhaume) et Wild Bunch. La région Ile de France lui a apporté son soutien et une sofica y a investi.Canal+ et Multithématique l’ont préacheté. Wild Bunch a donné un minimum garanti pour le mandate de distribution salle et a le mandat de vente à l’étranger sans minimum garanti.

Le premier film de Morgan Simon est la comédie dramatique « Compte des blessures’, sorti en 2017 https://fr.wikipedia.org/wiki/Compte_tes_blessures. Produit par Kazak productions et son distributeur Rezo Films. Sorti dans 49 salles il avait rassemblé 20 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

Le deuxième film réalisé par Jean-Bernard Marlin https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Bernard_Marlin, « Salem »,  est une tragédie entre un musulman et une gitane.https://fr.wikipedia.org/wiki/Salem_(film,_2023)

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Jean-Bernard Marlin

Son budget prévisionnel est de 8 millions €, soit 50% de plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/ Pour la préparation, 63 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 150 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Soit 15% de plus que la rémunération moyenne des réalisateurs l’année dernière. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/ Il a écrit le scénario pour 151 000 € ce qui correspond aux trois quarts du budget moyen des scénarios. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/Les rôles principaux ont reçu 82 000 €, soit leur rémunération médiane.   https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Les producteurs sont Unité (Bruno Nahon, Caroline Nataf et Thomas Morvan), & Vatos Lacos (Romain Daubeach, Marine Bergère et Jean-Bernard Merlin) en coproduction avec France 2 cinéma.Le film a bénéficié de 550 000 € d’avance sur recettes et aussi de l’aide à la Création Visuelle et sonore du CNC ainsi que de son Fonds images de la diversité.  La Région Sud lui a apporté son soutien. France 2 et Netflix l’ont préacheté. Ad Vitam a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo, vod et svod et Wild bunch pour le mandat de vente internationale.

Le premier film réalisé par Jean-Bernard Marlin était « Shéhérazade », sorti le 5 septembre 2018. Son budget prévisionnel était de 2,1 millions €. Pour la préparation, 42  jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 60 000 €, dont 15 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 45 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario avec Catherine Paillé pour 54 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 34 000 €.

Le producteur était Geko Films. Arte était coproducteur. Le film avait reçu du CNC 430 000 € d’avance sur recettes et le soutien aux Images de la diversité. La Fondation Gan et la région Paca lui avaient apporté leur soutien. Deux soficas y avaient investi. Canal+ et Arte l’avaient préacheté. Ad Vitam avait donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle et video. Le film avait rassemblé 156 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « LA GUERRE DES LULUS »

C’est le 6ème film de ce réalisateur ui est aussi scénariste. https://fr.wikipedia.org/wiki/Yann_Samuell

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il s’agit d’une coproduction entre la France (82%)  et le Luxembourg (18%)  pour un budget prévisionnel de 7,9 millions €.

Pour la préparation, le tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 130 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est à peu près la rémunération moyenne des réalisateurs de films français de fiction en 2022. https://siritz.com/financine/barometre-des-realisateurs-de-fiction-en-2022/

C’est l’adaptation de la série de bandes dessinées de Régis Hautière et Hardoc dont les droits ont été acquis 82 500 €. Yann Samuell a écrit le scénario et a reçu 100 000 € d’à valoir. Le budget du scénario est donc légèrement supérieur au budget moyen des films français de fiction sortis en 2022. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-scenarios-en-2022/

Les producteurs délégués français sont Superprod et Wild Bunch. 2 soficas et des investisseurs privés y ont investi. Pictanovo (Hauts-de-France) lui a  apporté une aide remboursable. Canal+ et OCS l’ont préacheté.

Wild Bunch et Elle Driver  ont donné un minimum garanti pour tous les mandats France et monde.

Le coproducteur luxembourgeois est Bidibul qui a bénéficié du soutien du Film Fund Luxembourg.

Le précédent film de Yann Samuell était « Le Fantôme de Canterville », sorti en salle le 6 avril 2016. C’était une coproduction entre la France (65%) et la Belgique (35%) pour un budget prévisionnel 12,4 millions €.

Pour la préparation, 45 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 144 000 €, dont 45 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et        99 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario avec Yves Marmion et ils s’étaient partagés 130 000 €.

Le producteur était Les Films du 24, dirigé par Yves Marmion et filiale d’UGC. France 2 était coproducteur et deux soficas y avaient investi. L’avaient préacheté.

UGC avait tous les mandats de distribution sans minimum garanti. Le film avait rassemblé 355 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.