Steven Gunnel à la fin du boys band Alliage, en 2000, est tombé en dépression et dans l’alcoolisme. Plus tard, il a découvert la foi dans une église à Nice et a créé, avec sa femme Sabrina, une société de production réalisant des films documentaires sur les sujets religieux. https://www.voici.fr/news-people/steven-gunnell-l-ex-chanteur-d-alliage-metamorphose-25-ans-apres-la-fin-du-boys-band-805885.« Sacré cœur » est son premier documentaire pour le cinéma qui nous plonge dans les mystères du Sacré-Cœur de Jésus. https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=1000026320.html
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Steven Gunnell
Le budget prévisionnel de ce docu-fiction est 690 000 €. Dans notre dernier baromètre sur les documentaires, portant sur l’année 2025, le budget moyen des documentaires était 369 000 € et le plus élevé était de 661 000 € https://siritz.com/financine/le-barometre-financier-des-documentaires-en-2025/Pour la préparation, 25 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 49 000 €, dont 8 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 41 000 € de salaire de technicien. Dans notre baromètre la rémunération moyenne des réalisateurs était 36 000 €. Il a écrit le scénario pour 2 000 € et il y a des comédiens dans le film dont la rémunération est de 6 500 €.
Le producteur délégué est Kréa Film Makers (Steven et Sabrina Gunnell). Il a bénéficié d’un financement participatif de Credo Funding, des experts du financement pour les projets de la communauté chrétienne. Toutes les chaînes du groupe Canal+ l’ont préacheté ainsi que KTO.
La société de distribution Saje Distribution lui a donné un minimum garanti. Saje Distribution est spécialisé dans la diffusion de films chrétiens. Le dernier film que la société a distribué était « De mauvaise foi », sorti le 7 mai dernier et produit par Saje production. Il avait rassemblé 77 000 spectateurs.
*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 15 ans d’archives.