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Dans « L’incroyable histoire du facteur Cheval », en progression par rapport au précédent film

Nils Tavernier est le réalisateur de « L’incroyable histoire du facteur Cheval » qu’OCS Max diffuse ce mercredi. C’est son troisième long métrage de fiction. Il a également réalisé 4 documentaires.  Comme son précédent film, « De toutes nos forces », c’est une autobiographie. Son premier long métrage de fiction « Aurore » était sorti en 2006. Avant de devenir réalisateur, comme son père, Bertrand Tavernier, Nils Tavernier avait été comédien. Voir : https://siritz.com/financine/lincroyable-histoire-du-facteur-cheval/

Voir aussi : https://fr.wikipedia.org/wiki/Nils_Tavernier

Les données financières de cet article sont fournies par Cinéfinances.info*.

Le film a un budget de 5 millions €. Et il a rassemblé 782 000 spectateurs. Son tournage a duré 36 jours. La rémunération  de Niels Tavernier a été de 121 000 €, dont 61 000 en à-valoir sur droits d’auteurs et 60 000 € de salaire de techhnicien. C’est un peu moins que la moyenne des rémunérations des réalisateurs de films français sortis en 2019. Mais supérieur à leur rémunération médiane : https://siritz.com/les-barometres-de-la-distribution/remuneration-des-realisateurs-de-films-francais-de-fiction/

90 000 € pour « De toutes nos forces »

A titre de comparaison, pour « De toutes nos forces », son précédent film, la rémunération de Nils Tavernier réalisateur avait été de 90 000 €. Elle était répartie en 60 000 € d’à-valoir sur droits d’auteur et 30 000 € de salaire de technicien. Par ailleurs, il avait co-écrit le scénario avec Laurent Bertoni. Le film, sorti en 2013, était produit par Nord-Ouest Films (Christophe Rossignon et Philip Boëffard).

Jacques Gamblin est l’interprèterez principal des deux derniers films de Nils Tavernier

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement,  destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.