Archive d’étiquettes pour : Leyla Bouzid

POUR LA RÉALISATION DE « UNE HISTOIRE D’AMOUR ET DE DÉSIR »

Cette romance est le premier long métrage de la réalisatrice. Celle-ci est née en Tunisie et diplômée de la Femis section réalisation. https://fr.wikipedia.org/wiki/Leyla_Bouzid

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

http://www.semainedelacritique.com/fr/edition/2021/film/une-histoire-damour-et-de-desir

Il est produit par Bertrand Gore  (Blue Monay Productions) pour un budget de 2,37 millions €. Il avait produit, pour 2,4 millions € ,« Juts Kids » sorti le 5 août 2018, réalisé par Christophe Blancet. Il avait été distribué par Rezo films. Il avait également produit « La forêt de mon père » réalisé par Véro Cratzborn, pour 2,08 millions €, sorti le 8 juillet 2020, distribué par KMBO. Ces deux films avaient rassemblé moins de 10 000 entrées.

Le producteur a investi son salaire de producteur, ses frais généraux et son crédit d’impôt. Le film a obtenu du soutien à la production et l’investissement de deux soficas dont une adossée. Arte est coproducteur et a préacheté un passage. Il a également été préacheté par Canal+ et Multithématiques.

Le film a également bénéficié de l’aide au développement, de 500 000 € d’avance sur recettes et du Fonds Images de la diversité. La région Basse Normandie lui a accordé de l’aide de l’écriture.

Pyramide a donné un minimum garanti pour les mandats salle et vidéo et un autre pour l’international.

Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération de Leyla Bouzid est de 74 000 € dont 40 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 34 000 € de salaire de technicien. C’est sensiblement moins que la rémunération médiane des films français sortis en 2021.

Elle a, en outre, reçu 39 000 € pour son scénario.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement,  destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 11 ans d’archives.