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POUR LA RÉALISATION DE « LES VEDETTES »

Cette comédie est son 2ème long métrage. Il a réalisé beaucoup d’émissions comiques à sketch. https://fr.wikipedia.org/wiki/Jonathan_Barré

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Le film est produit par Alain Goldman (Légende films ) et Gaumont pour un budget prévisionnel de 9 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Vedettes

 

Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 320 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est plus de 50% de plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de films français sortis en 2021. https://siritz.com/financine/le-top-5-de-la-remuneration-et-le-barometre/

Le scénario a été co-écrit avec Grégoire Ludig et David Marsais. Ils se sont partagés 370 000 €.

TF1 est coproducteur et a préacheté un passage en clair. OCS  a préacheté 2 fenêtres de télévision à péage, et TMC un passage en clair.

Gaumont est le distributeur, avec tous les mandats mais sans avoir donné de minimum garanti. Les recettes amortissent prioritairement son investissement en tant que producteur.

Le premier film réalisé par Jonathan Barré était « La folle histoire de Max et Léon », sorti le 1er novembre 2016. Il était produit par Légendaire pour un budget prévisionnel de 11,5 millions €.

Pour la préparation, 45 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 100 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.

Le scénario était écrit par David Marsais et Grégoire Ludig pour 82 000 €.

TF1 était coproducteur et avait préacheté un passage. Canal+, Mutithématiques et D8 avaient également préacheté un passage.

Studio Canal était distributeur et le film avait rassemblé 1,3 millions de spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.