Pour son 12ème documentaire, « Apprendre https://fr.wikipedia.org/wiki/Apprendre_(film)#:~:text=Apprendre%20est%20un%20filma, la réalisatrice Claire Simon https://fr.wikipedia.org/wiki/Claire_Simonnous fait vivre avec les enfants d’une classe élémentaire de la banlieue parisienne de la région parisienne.
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Claire Simon
Son budget prévisionnel est 650 000 €, soit un tiers de plus que le budget moyen des documentaires français sortis l’année dernière. https://siritz.com/editorial/le-barometre-2024-des-films-documentaires/Pour la préparation, 37 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 50 000 €, dont 20 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 30 000 € de salaire de technicien. C’est, là encore, un tiers de plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de documentaire. Elle a écrit le scénario pour 20 000 €, soit un peu plus que le budget moyen des scénarios de documentaire.
Le producteur délégué est Les films Hatari (Michel Klein). France 2 cinéma est coproducteur. Le film a bénéficié de 165 000 € d’avance sur recettes. Une sofica y a investi. France 2 et Ciné+ l’ont préacheté. Dulac distribution a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution France et Totem pour les ventes à l’étranger.
Le précédent film de Claire Simon était « Notre corps », sorti en 2023. Elle y regarde le corps des femmes confronté à l’hopital https://fr.wikipedia.org/wiki/Notre_corps. Produit par Madison Films et distribué par Dulac Distribution son budget était 980 000 €. Il avait rassemblé 24 000 spectateurs. Dans « Le Fils de l’épicière, le Maire, le Village et le Monde », sorti en 2021 https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Fils_de_l%27épicière,_le_Maire,_le_Village_et_le_Monde, elle traitait de la création d’une plateforme numérique sur abonnement dédiée au documentaire d’auteur.
*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 15 ans d’archives.