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POUR LA RÉALISATION DE « DE NOS FRÈRES BLESSÉS »

C’est son 2ème long métrage. //fr.wikipedia.org/wiki/Hélier_Cisterne

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par Justin Taurand (Les Films du Bélier) pour un budget prévisionnel de 6,8 millions €. C’est une coproduction entre la France (88%) et la Belgique (12%). https://fr.wikipedia.org/wiki/De_nos_frères_blessés_(film,_2022)

Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 62 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est beaucoup moins que la rémunération médiane des réalisateurs de films de fiction depuis le début de l’année ou au cours de l’année 2021. https://siritz.com/financine/barometre-realisateurs-scenarios-22/

Le film est une adaptation du roman de de Jospeh Andras dont les droits ont été acquis pour 80 000 €. Le scénario a été coécrit par le réalisateur et Katell Quilévéré et ils se sont partagés 60 750 €.

Jean-François Lepetit (Flach film Production) et France 3 sont coproducteurs.

Le film a bénéficié de 500 000 € d’avance sur recettes et d’une aide au développement ainsi que d’une aide aux images de la diversité du CNC. Il a également bénéficié d’une avance d’Eurimages. Trois soficas y ont investi et il a bénéficié du soutien de la région Ile de France.

Canal + et Multithématiques ont acheté une fenêtre de télévision à péage et France 3 un passage sur la télévision gratuite.

Diaphana en est le distributeur avec un minimum garanti pour les mandats salle et vidéo sur la France.

Le coproducteur belge est Frakas production qui a bénéficié du Tax shelter. La RTBF est coproducteur et a acheté un passage. Il a une avance d’Eurimages pour la Belgique.

Cinéart a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution sur le Bénélux.

Le précédent film réalisé par Hélier Cisterne était « Vandal », sorti en salle le 9 octobre 2013.

Il était produit par le même producteur pour un budget de 2,3 millions €.

Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 29 000 €, dont 12 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 17 000€ de salaire de technicien. Il avait en outre reçu 8 500 € pour le scénario qui était coécrit avec Nicolas Journet (6 000€), Gilles Taurand (55 000 €) et Katell Qillévéré (4 000 €).

Le film avait bénéficié de 152 000 € d’avance sur recettes après réalisation.

Il été distribué par Pyramide qui n‘avait pas sonné de minimum garanti. Le film avait rassemblé 27 000 entrées.

Le coproducteur belge était Tarantula.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.