Archive d’étiquettes pour : Gebeka

Le film d’aventure pour les enfants «Bambi, l’histoire d’une vie dans le bois », https://fr.wikipedia.org/wiki/Bambi,_l%27histoire_d%27une_vie_dans_les_bois_(film)adapté du roman de l’austro-hongrois Felix Salten, paru en 27, et dont les studios Walt Disney avaient fait une adaptation cinématographique à succès en 1942, est le premier long métrage réalisé par Michel Fessier https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Fessler , qui a été le scénariste de nombreux films.

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Michel Fessier

Le budget prévisionnel du film est de 5,6 millions €, ce qui est un peu plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français parus depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/2024-reduction-des-budgets-previsionnels/Pour la préparation et la post-production la rémunération du réalisateur est de 120 000 €, répartie en part égale entre à-valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Là encore, c’est à peu près la rémunération moyenne des réalisateurs de films de fiction. https://siritz.com/editorial/remuneration-du-realisateur-en-du-budget/En revanche, Michel Fessier a écrit le scénario pour 60 000 €, ce qui est 41% du budget moyen des scénarios des films de fiction. Il est vrai que le livre dont il est adapté est dans le domaine public. https://siritz.com/financine/impressionnante-chute-du-budget-des-scenarios/La rémunération de la voix de Mylène Farmer est de 10 000 €.

Les deux producteurs délégués sont MC4 (Stéphane Millière) et Gebeka Films (Reginald de Guillebon). Kinology est coproducteur. Trois soficas non garanties y ont investi. Le film a bénéficié du soutien de la Procirep. Les régions Ile de France et Centre/Val de Loire ainsi que le département du Loiret lui ont apporté leur soutien. Gebeca a apporté un minimum garanti pour les mandats de distributions France, sauf télévision, et Kinology pour le mandat de vente à l’international.

Sorti dans 288 salles le film avait rassemblé 17 705 spectateurs les 5 premiers jours.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.

« Vivre avec les loups » https://fr.wikipedia.org/wiki/Vivre_avec_les_loups est le troisième film documentaire que Jean-Michel Bertrand réalise sur les loups. https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Michel_Bertrand_(artiste)

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Il fait partie des documentaires qui bénéficient de moyens importants, puis que son budget est de 920 000 € et qu’il sort dans 152 salles. A titre de comparaison consulter notre baromètre des documentaires sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-tres-grand-ecart-des-documentaires/

Pour la préparation, 68 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 50 000 €, dont 10 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 40 000 € de salaire de technicien. C’est 25% de plus que la moyenne de leur rémunération en 2023. Il a écrit un scénario et a été rémunéré à ce titre à hauteur de 30 000 €, ce qui est très rare pour les documentaires.

Le film est produit par MC4 (Stéphane Millière).L’Angoa, et la région Sud lui ont apporté leur soutien. Deux soficas y ont investi. Ciné+ l’a préacheté. Gebeka a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution en salle.

Jean-Michel Bertrand avait réalisé « Marche avec les loups », sorti le 15 janvier 2021 dans 124 salles. Il avait un budget et 890 000 €, le même producteur et le même distributeur. 187 000 spectateurs avaient été le voir.  « La vallée des loups » était sorti le 4 janvier 2017 dans 57 salles et avait rassemblé 495 000 spectateurs. Son budget était de 750 000 €. Il avait également le même producteur et le même distributeur.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« Linda veut du poulet » est un film d’animation qui a remporté le Cristal d’argent du long métrage au dernier Festival international du film d’animation d’Annecy. Il est réalisé par le Français Sébastien Laudenbach dont c’est le 2ème film d’animation https://fr.wikipedia.org/wiki/Sébastien_Laudenbach

et l’Italienne Chiara Malta qui avait réalisé auparavant un film de fiction https://www.lacid.org/fr/personnes/chiara-malta

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Il s’agit d’une coproduction entre la France (80%) et l’Italie (20%) pour un budget prévisionnel de 2,6 millions €. Pour la préparation, la fabrication et la post-production la rémunération des réalisateurs est de 196 000 €, dont 60 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 136 000 € de salaire de technicien. Ils ont reçu 40 000 € pour le scénario tandis que les comédiens qui ont prêté leurs voix ont reçu 48 000 €.

Les producteurs délégués Français sont Dolce Vita films (Claire Chassagne et Marc Irmer) et Miyu Productions(Emmanuel-Alain Raynal et Pierre Baussaron). France 3 est coproducteur. Eurimages a fourni son soutien. Le CNC a accordé l’aide CVS (anciennement aide aux techniques de l’animation) pour le pilote, puis la production, ainsi qu’une aide aux coproductions franco-italiennes et une aide à la diversité. La région Ile de France a accordé une aide remboursable. La  Nouvelle Aquitaine, et le département de la Charente ont accordé un aide non remboursable. Deux sofica y ont investi. Ciné+ et France 3 l’ont préacheté. Gebeka a donné un minimum garanti pour la distribution en salle en France.

Le producteur italien est Palosanto Films ( Pilar Saavedra Perrotta et Flaminio Zadra). Il a reçu du Ministère de la culture l’aide aux coproductions minoritaires. Eurimages lui a également apporté son soutien.

Le précédent film de Sébastien Laudenbach était « La jeune fille sans mains », sorti le 14 décembre 2016. Il était produit par Les films sauvage ( Sebastien Laudenbach) pour un budget prévisionnel de 450 000 €.

Pour la préparation, 59 jours de tournage(dont 32 à la villa Medicis) et la post-production la rémunération du réalisateur était de 36 000 €, dont 10 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 26 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario avec Olivier Py et Jacob § Wilhem Grimm pour 90 000 €. Il avait bénéficié de 150 000 € d’avance sur recettes après réalisation. Shellac avait donné un minimum garanti pour la distribution en salle. Le film avait rassemblé 40 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.