Archive d’étiquettes pour : Formosa productions

Le premier long métrage réalisé par Michiel Blanchart est un polar Belge. https://www.allocine.fr/personne/fichepersonne-890210/filmographie/

Michiel Blanchart

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il s’agit d’une coproduction entre la France (39%) et la Belgique (61%) pour un budget prévisionnel de 4,9 millions €.  C’est 95% du budget prévisionnel moyen des films français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/ Pour la préparation, 36 jours de tournage en Belgique et la post-production la rémunération du réalisateur Michiel Blanchart est de 100 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit 75% de la rémunération moyenne  des réalisateurs. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/ Il a écrit le scénario pour 58 000 €, ce qui correspond à 60% du budget médian des scénarios. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les rôles principaux ont reçu 38 000 €, soit la moitié de la médiane de leurs rémunérations cette année. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Les producteurs délégués français sont Formosa productions (Boris Van Gils)/Quad Films  (Nicolas Duval Adassovsky). Gaumont et France 3 sont coproducteurs. Le film a reçu le soutien d’Eurimages et du Fonds Media Slate. Canal+, Ciné+ et France 3 l’ont préacheté. Gaumont a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution en France et un autre pour le mandat de ventes internationales.

Le producteur belge est Daylight Films (Michaël Goldberg et Marina Festré). Il a bénéficié du tax shelter. Il a le soutien du Fonds Wallonie-Bruxelles, du Screen Bruxelles, du Fonds audiovisuel flamand, d’Eurimage et du Media Slate. Il a été vendu à Proximus, BE TV et RTL.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.