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POUR LA RÉALISATION DE « QU’EST-CE QUE L’ON A ENCORE TOUS FAIT AU BON DIEU ?»

C’est le 9ème film de cet habitué aux succès et le troisième de la série des « Qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu ». Il est aussi le réalisateur de la série de films à succès « Élève Ducobu ». https://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_de_Chauveron

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par Brigitte Maccioni (Les films du Premier) et (Les films du 24), c’est-à-dire UGC.  Celle-ci est aujourd’hui PDG d’UGC. https://fr.wikipedia.org/wiki/Qu%27est-ce_qu%27on_a_tous_fait_au_Bon_Dieu_%3F

Pour la préparation, 48 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 390 000 €, dont 190 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 200 000 € de salaire de technicien.

C’est plus du triple de la rémunération moyenne des réalisateurs de films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/les-barometres-des-remunerations-2/

Le sujet et le scénario ont été rémunérés 840 000 € dont 220 000 € pour Guy Laurent le coscénariste.

TF1 films production est coproducteur et trois soficas y ont investi.

OCS a acheté deux fenêtres pour la télévision à péage et TF1 deux passages sur la télévision gratuite. TMC a également acheté un passage.

Sans avoir donné de minimum garanti, UGC a tous les mandats de distribution sauf pour le Bénélux. Le producteur belge Belga est coproducteur à hauteur de 11%.

Le précédent film du réalisateur est « Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon dieu », sorti le 30 janvier 2019. Il avait le même producteur pour un budget prévisionnel de 17 millions €.

Pour la préparation, 48 jours de tournage la rémunération du réalisateur était la même. C’était également le cas pour le scénario et le sujet.La  rémunération de Guy Laurent était 200 000€..

Le film, sorti dans 852 salles, avait cumulé 6,722 millions de spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.