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POUR LA RÉALISATION DE « PETITE SOLANGE »

C’est son 4ème long métrage. https://fr.wikipedia.org/wiki/Axelle_Ropert

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il a été produit par Charlotte Vincent (Aurora films) pour un budget prévisionnel de 1,25 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Petite_Solange

Pour la préparation, 27 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice  est de 47,5 000 €, dont 22 500 € d’à valoir sur droits d’auteur et 25 000 € de salaire de technicien. C’est moins de la moitié de la rémunération médiane des réalisateurs de films français sortis en 2021. https://siritz.com/financine/le-top-5-de-la-remuneration-et-le-barometre/

Elle a en outre reçu 22 500 € pour le scénario.

Le film a bénéficié de 320 000 € d’avance sur recettes. 4 soficas, dont 2 adossées y ont investi. Les régions Ile de France et Pays de la Loire ont apporté leur soutien.

Canal+ et Multithématiques ont préacheté des passages pour la télévision payante.

Haut et court est le distributeur et a donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo, vod et S-Vod.

Le précédent film réalisé par Axelle Ropert était « La prunelle de mes yeux », sorti en salle le 21 décembre 2016. Il était produit par Philippe Martin et David Thion (Les Films Pélléas) pour un budget prévisionnel de 1,8 millions €.

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice était de 44 000 €, dont 20 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 24 000 € de salaire de technicien. Elle avait en outre reçu 30 000 € pour le scénario.

Arte était coproducteur et avait préacheté un passage. Multithématique avait également acheté des passages de télévision payante.

Le distributeur était Diaphana, avec les mandats salle et vidéo, pour lesquels il avait donné un minimum garanti.

Le film avait rassemblé 9 000 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.