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POUR LA RÉALISATION DE « A GOOD MAN »

LA RÉMUNÉRATION DE MARIE-CASTILLE MENTION-SCHAAR

C’est le 6ème long métrage réalisée par celle qui est aussi connu pour ses scénarios, notamment celui de « La première étoile », qui avait rassemblé plus de 1,6 millions de spectateurs. C’est l’histoire d’un homme tran qui porte un bébé. https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie-Castille_Mention-Schaar

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Le film a été produit par les société de production de la réalisatrice (Willow films et Vendredi Films) pour un budget prévisionnel de 3 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/A_Good_Man_(film,_2020)

Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 60 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est beaucoup moins que la rémunération médiane des films français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-realisateurs-2/

La productrice a investi du numéraire et du soutien. France 2 est coproducteur. Les Régions Paca et Bretagne ont apporté un soutien. Une sofica y a investi.

Canal+, Multithématique et France 2 ont acheté un passage.

Pyramide a accordé un minimum garanti pour le mandat de distribution en salle et un autre pour les ventes à l’étranger.

Le précédent film de la réalisatrice était « La fête des mères », sorti le 25 mai 2018. Il était produit par Willow films pour 5,6 millions € et distribué par UGC.

Pour la préparation le tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice était de 150 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Plus 14 000 € pour le scénario.

Il avait rassemblé 128 000 spectateurs.

 

 

 

 

 

 

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement,  destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.