LA RÉSISTANCE OUVRIÈRE POUR DÉFENDRE LES JARDINS
Le second long métrage de documentaire pour le cinéma de Vincent Lapize https://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_liste_generique/C_62502_F« La terre des vertus » https://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/73044 raconte la résistance ouvrière pour défendre les jardins ouvriers face aux travaux pour les JO.
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Vincent Lapize
Son budget prévisionnel est 279 000 €, soit les trois quarts du budget médian des films de documentaire sortis depuis le début de l’année https://siritz.com/financine/le-barometre-financier-des-documentaires-en-2025/Pour la préparation, 25 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 17 000 €, dont 6 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 11 000 € de salaire de technicien. C’est un peu moins que la moitié de la rémunération médiane des réalisateurs de films documentaires. S’y ajoute le scénario qu’il a écrit pour 14 000 €. Le budget des droits musicaux est 8 500 €, soit 21% des droits musicaux médians de tous les films, fiction comprise.
Le producteur délégué est A perte de vue (Colette Quesson). Studios Alhambra et Arestud Films sont coproducteurs. Le film a bénéficié du CNC d’une aide au développement, d’une aide à image de la diversité et d’une aide à la musique originale.La région Bretagne lui a apporté une aide non remboursable au développement tandis que la région Aquitaine et de département de la Charente-Maritime lui ont apporté une aide non remboursable à la production. TV5 l’a préacheté et Vrai Vrai Films lui a donné un minimum garanti pour tous les mandats.
Le premier long métrage réalisé par Vincent Lapize était « Le dernier continent » (2015) qui portait aussi sur un combat écologique. Il était produit par A perte de vue et Real Factory. Mais nous n’avons pas trouvé d’information sur son budget ni sur sa sortie en salle.
*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 15 ans d’archives.