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LA RÉMUNÉRATION DE HAHMED HAMIDI

POUR LA RÉALISATION DE « LE MÉDECIN IMAGINAIRE »

Cette comédie est son premier film en tant que réalisateur alors qu’il était jusqu’ici scénariste. Il avait notamment été l’un des auteurs des Guignols de l’info. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ahmed_Hamidi

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par Prod Bruno Levy (Move Movie), pour un budget prévisionnel de 3,5 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Médecin_imaginaire_(film)

Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 81 000 €, dont 44 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 37 000 € de salaire de technicien.

C’est moins que la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction sortis en 2021 et depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/les-barometres-des-remunerations-2/

Le film est coproduit par UGC, Ce qui me meut (Cedric Klapisch) et France 3.

Canal+, Multithématiques, France 3 et C8 l’ont préacheté.

Il est distribué par UGC qui a donné un minimum garanti pour tous les mandats.

Le précédent film produit par Move Movie était « La monnaie de leur pièce », sorti le 10 janvier 2018 et réalisé par Anne Le Ny. Il avait un budget de 4,8 millions € et était distribué par UGC qui avait donné un minimum garanti pour tous les mandats. Le film avait rassemblé 66 000 spectateurs.

Le dernier film distribué par UGC est « Qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu », réalisé par Philippe de Chauveron.

Il est également produit par le groupe UGC. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-philippe-de-chauveron/

A ce jour  il a rassemblé 1,340 millions d’entrées en 2 semaines et 351 000 entrées ce dernier week-end, ce qui le met en deuxième position.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.