Cinescoop

LA RÉMUNÉRATION DE CATHERINE CORSINI

POUR LA RÉALISATION DE « LA FRACTURE »

C’est le 11ème long métrage réalisée par cette comédienne qui est aussi scénariste. https://fr.wikipedia.org/wiki/Catherine_Corsini

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Fracture_(film,_2021)

Pour la préparation, 33 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 100 000 €, répartie en part égale entre â valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.

C’est la rémunération médiane des réalisateurs de films sortis en 2021. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-realisateurs/

Mais c’est 2% du budget soit 15% de moins que la rémunération médiane de ces réalisateurs en % du budget.

La réalisatrice a en outre reçu 80 000 € pour le scénario qui a été coécrit par Agnès Feuvre qui a reçu 11 000 €.

Le film a un budget prévisionnel de 4,8 millions €. La productrice Elisabeth Perez (Chaz Productions) a mis en participation son salaire, ses frais généraux et même ses imprévus. Elle a également pris en compte son crédit d’impôt. Le Pacte et France 3 sont coproducteurs ainsi qu’un pool de soficas. La Région Auverge Rhône-Alpes a apporté une aide remboursable.

Il a été préacheté par Canal+, Multithématiques et France 3.

Le Pacte a investi un minimum garanti.

Le précédent film qu’elle avait réalisé était « Un amour impossible, « sorti en 2018.  Le producteur et le distributeur étaient les même. Le budget était de 7,5 millions €.

Pour la préparation, 33 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice était de 160 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Elle avait écrit le scénario avec Laurette Polmanss et Christine Angot et elles s’étaient partagés 92 000 €.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement,  destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.