LA RÉMUNÉRATION DE MIKHAËL HERS
POUR LA RÉALISATION DE « LES PASSAGERS DE LA NUIT »
C’est son quatrième long métrage. https://fr.wikipedia.org/wiki/Mikhaël_Hers
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Il est produit par Christophe Rossignon (Nord-Ouest films) pour un budget prévisionnel de 4,4 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Passagers_de_la_nuit_(film,_2022)
Pour la préparation, 23 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 100 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.
C’est égal à la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction sortis en 2021 et depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/les-barometres-des-remunerations-2/
Le scénario a été coécrit avec Maud Ameline et Mariette Désert. Ils se sont partagés 74 000 €.
Y ont investi 9 soficas dont deux adossées. Le région Normandie l’a soutenu.
Arte l’a coproduit pour un montant double de son prix de préachat. Il a également été préacheté par Canal+ et Multithématique.
Le scénario était coécrit avec Maud Ameline et ils s’étaient partagés 60 000 €.
3 soficas dont une adossée y avaient investi.
Pyramide Distribution n’a pas donné de minimum garanti pour les mandats salles, vidéo, vod.
Le précédent film de Mikhaël Hers était « Amanda », sorti le 21 novembre 2018. Il avait le même producteur et son budget prévisionnel était de 3,5 millions €.
Pour la préparation, 48 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 74 000 €, dont 33 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 41 000 € de salaire de technicien.
Le film avait bénéficié de 500 000 € d’avance sur recettes. Il a été soutenu par la région Nouvelle Aquitaine et la Dordogne.
Arte en était coproducteur
Canal+, Multithématiques et Arte l’avaient préacheté.
Pyramide distribution avait les mandats pour la salle et la vidéo sans minimum garanti.
Le film avait rassemblé 260 000 entrées.
*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.