LA RÉMUNÉRATION DE NICOLAS PLESKOF
POUR LA RÉALISATION DE « MURDER PARTY »
C’est son premier long métrage. https://www.notrecinema.com/communaute/stars/stars.php3?staridx=361548
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Il est produit par Jean-Christophe Reymond et Amaury Ovise (Kazak Productions) pour un budget prévisionnel de 3,4 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Murder_Party_(film,_2022)
Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 60 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.
C’est beaucoup moins que la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction sortis depuis le début de 2022 et aussi des films français de fiction de toute l’année 2021. https://siritz.com/financine/barometre-realisateurs-scenarios-22/
Il a en outre reçu 63 000 € pour le scénario.
Le film a été coproduit par Pictanovo (Région Hauts-de-France), la région Auvergne-Rhône-Alpes et France 3. 3 soficas adossées et une non adossée y ont également investi.
Canal+ et Multithématiques ont préacheté les fenêtres de télévision à péage et France 3 un passage sur la télévision gratuite.
Le Pacte a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle et la vidéo et un autre pour le mandat international. Sorti su 297 copies il avait rassemblé 34 000 spectateurs le premier week-end.
Le précédent film produit par Kazak productions était «Titane», sorti le 14 juillet 2021. Réalisé par Julia Ducourneau il avait un budget prévisionnel de 7,4 millions € et était distribué par Diaphana. https://siritz.com/le-carrefour/le-bilan-de-wallimage-par-philippe-reynaert/
Cette semaine Le Pacte distribue « Les meilleures », réalisé par Marion Desseigne-Ravel. Il est produit par 31 juin films pour un budget de 2,6 millions €. Sorti sur 78 copies le film a réalisé 6 300 entrées le premier week-end.
*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.