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LA RÉMUNÉRATION DE MELISSA DRIGEARD

POUR LA RÉALISATION DE « TOUT NOUS SOURIT »

Cette comédie est le second long métrage de Mélissa Drigeard qui a commencé sa carrière comme comédienne et a également réalisé des fictions. https://fr.wikipedia.org/wiki/Mélissa_Drigeard

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Elle a été produite par Julien Madon (A single man productions ) pour un budget prévisionnel de 5,2 millions € et elle est distribuée par UGC qui est également coproducteur comme deux soficas et France 2. https://fr.wikipedia.org/wiki/Tout_nous_sourit

Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 104 000 €, dont 54 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 50 000 € de salaire de technicien.

C’est plus que la rémunération médiane des réalisateurs de films français sortis depuis le début de l’année.

Elle a reçu 250 000 € pour le scénario coécrit avec Vincent Julienne qui a reçu 35 000 €.

Le film est coproduit à hauteur de 1% par la Belgique par Gapbusters.

Le producteur a investi du fonds de soutien préparation et production, mis ses frais généraux en participation et tenu compte de son crédit d’impôt. OCS a préacheté 2 passages et France 2 un passage. OCS avait acheté le 1er passage de « Le Trésor du petit Nicolas ». https://www.cinefinances.info/film/2412

Le premier film de la réalisatrice était «Jamais le premier soir», sorti le 1er janvier 2014. Il était produit par Dominique Farrugia (FEW) et Europacorp, pour un budget de  6,5 millions € et distribué par Europacorp.

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 72 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.

Elle avait déjà coécrit le scénario avec Vincent Juillet et chacun avait reçu 40 000 €.

Le film avait rassemblé 813 000 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit du dossier sur lequel le producteur a monté son financement, correspondant à l’agrément d’investissement, non les données définitives, après production effective du film. Ce site dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 11 ans d’archives.